Essence-I-Elles

Essence-I-Elles

Le changement

 

 

 

 

Un monde de pouvoir

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Selon la conception Darwinienne de notre monde, seul le plus fort survit, c'est devenu la base des histoires que nous nous racontons pour justifier le fonctionnement de notre monde.

 

Notre société n'est pas basée sur la coopération mais sur le pouvoir, le pourvoir d'un groupe de personnes sur un autre, de l'homme sur la femme, de l'homme sur la nature.

Notre système économique et culturel prône la puissance avant tout. Nous sommes convaincus qu'amasser le plus de bien possible est source de bonheur, que le bonheur se trouve au détour de la consommation ce que les publicitaires savent induire à merveille.

 

Plus nous amassons de biens et d'argent, plus nous nous sentons puissant et obtenons du pouvoir.

 

 

Le véritable pouvoir à cultiver est la puissance intérieure, dès que nous l'aurons contactée, nous n'aurons plus besoin de lutter et de combattre pour être le plus fort, nous n'aurons qu'à être dans notre puissance personnelle.

 

 

 

 

 

 

 

Le changement

 

 

Prendre conscience que nous faisons partie du monde qui nous entoure, nous partageons cette terre avec toutes les autres formes de vie qui la peuplent, nous respirons le même air et buvons la même eau.

Nous ne sommes ni supérieurs, ni inférieurs aux autres formes de vie, nous sommes égaux car nous appartenons à ce même tout.

 

Chaque forme de vie a son propre rôle à jouer dans note écosystème et chacune doit être respectée. Les animaux et les plantes possèdent une forme d'intelligence et un esprit spécifique, chaque forme de vie est sacrée.

 

 

Les anciennes cultures avaient l'habitude de coopérer avec leur environnement, elles ont d'importantes leçons à nous enseigner, ayons l'humilité de les écouter…

 

 

Nous sommes tous interconnectés dans un champ morphique(identifié par Rupert Sheldrake) que Carl Jung appelle inconscient collectif.

 

 

 

 

 

 

 

Qu'est-ce qu'un champ morphique?

 

Cette théorie du biologiste Ruppert Sheldrake suggère que la nature des choses dépend de champs - des champs morphiques. Chaque type de système naturel possède son propre type de champ ; il y a un champ pour l'insuline, un champ pour le hêtre, un champ pour l'hirondelle, etc. Ces champs façonnent les différents types d'atomes, de molécules, de cristaux, d'organismes vivants, de sociétés, de coutumes et de modes de pensée.

 

Les champs morphiques, sont connus de la physique. Ils sont des régions d'influence non matérielles s'étendant dans l'espace et se prolongeant dans le temps. Quand un système organisé particulier cesse d'exister - lorsqu'un atome est désintégré, qu'un flocon de neige fonds ou qu'un animal meurt - son champ organisateur disparaît du lieu spécifique où existait le système. Mais dans un autre sens, les champs morphiques ne disparaissent pas ce sont des schèmes (des logiciels sans supports) d'influence organisateurs potentiels, susceptibles de se manifester à nouveau, en d'autres temps, en d'autres lieux, partout où et à chaque fois que, les conditions physiques seront appropriées.

 

Or, les champs morphiques se manifestent et évoluent dans le temps et l'espace ; ils sont influencés par ce qui s'est réellement produit dans le monde. Les champs morphiques sont envisagés dans un esprit évolutionniste, ce qui n'est pas le cas des champs connus de la physique. Ou tout au moins, ce n'était pas le cas jusqu'à ces derniers temps.

 

 

 

En simplifiant beaucoup :

 

Le tout est plus que la somme des parties. Il remet en cause également l'aspect purement mécanique de la biologie au profit d'une causalité formative à la base de la morphogenèse, la biochimie et la génétique n'intervenant qu'à posteriori.

 

Cette causalité formative s'exprimerait par les champs morphogénétiques.

 

Les champs morphiques façonneraient les atomes, les molécules, les cristaux, les organelles, les cellules, les tissus, les organes, les organismes, les sociétés, les écosystèmes, le système planétaire, le système solaire, la galaxie etc.

 

Dans cette complexité croissante, les champs morphogénétiques contiendraient une mémoire inhérente acquise par un processus de résonance morphique, composant la mémoire collective de chaque espèce ( idée émise par l'éminent psychologue suisse Carl Gustav Jung ).

 

Ainsi, le cerveau, trop petit pour contenir la mémoire, n'est pas un organe de stockage mais un organe de liaison avec la banque de données du champ morphogénétique dans laquelle se mêlent passé, présent et futur.

 

 

 

 

 

 

 

Q'est-ce que l'inconscient collectif de Jung?

 

L’inconscient collectif contient l’expérience émotionnelle de toute l’humanité , c’est là que se loge aussi les grands symboles et les archétypes.

 

 

 

 

 

Toutes ces théories avancent que lorsque nous modifions nos pensées et notre manière de vivre, nos actions se répercutent dans le monde extérieur.

Cela nous ouvre la possibilité d'accéder à de nouveaux schémas de pensée qui nous permettrons de voir la vie différemment et pourquoi pas de construire un nouveau modèle de société basé sur la coopération et le respect de toute forme de vie.

 

 

Plus nous serons nombreux à penser d'une certaine manière, plus nombreux seront les personnes incitées à penser de la même manière, plus il y aura de personnes en quête de paix et de spiritualité, plus ces vertus se répandrons.

 

 

 

 

 

 

Pour illustrer cela voici La théorie du 100ème singe

 

 

Le centième singe ou comment va se jouer l'avenir de l'Humanité

 
Ken Keyes Jr est l'auteur de « The Hundredth Monkey », « Le centième singe » (1), l'histoire vraie d'une fable extraordinaire qui aujourd'hui résonne avec notre destin en tant qu'Humanité.

Une espèce de singe japonais, le macaque japonais ( macaca fuscata ), a été observée à l'état sauvage sur une période de 30 ans.

En 1952, sur l'ile de Koshima, des scientifiques nourissaient les singes avec des patates douces crues en les jetant sur le sable. Les singes aimaient le goût des patates douces, mais trouvaient leur saleté déplaisante.

Une femelle agée de 18 mois, appelée Imo, pensait qu'elle pouvait solutionner le problème en lavant les patates dans un ruisseau tout près. Elle enseigna ce truc à sa mère. Leurs compagnes de jeu apprirent aussi cette nouvelle façon de faire et l'enseignèrent aussi à leurs mères.

Cette innovation culturelle fut graduellement adoptée par différents singes devant les yeux des scientifiques. Entre 1952 et 1958, tous les jeunes singes apprirent à laver les patates douces remplies de sable pour les rendre plus agréables au goût. Seuls les singes adultes qui imitèrent leurs enfants apprirent cette amélioration sociale. Les autres singes adultes conservèrent leur habitude de manger des patates douces sales.

À l'autonne de 1958, un certain nombre de singes de Koshima lavaient leurs patates douces - leur nombre exact demeure inconnu. Supposons que lorsque le soleil se leva un matin, il y avait 99 singes sur l'île de Koshima qui avaient appris à laver leurs patates douces. Supposons encore qu'un peu plus tard ce-matin là, un centième singe appris à laver les patates. Alors quelque chose d'étonnant se produisit !

Ce soir-là presque tous les singes de la tribu se mirent à laver leurs patates douces avant de les manger. Un peu comme si l'énergie additionnelle de ce centième singe créa une sorte « de percée scientifique » !

Mais ce n'est pas tout : la chose la plus surprenante observée par ces scientifiques fut le fait que l'habitude de laver les patates douces se transmit de façon inexpliquée et simultanée à des colonies de singes habitant d'autres îles ainsi qu'à la troupe de singes de Takasakiyama sur le continent qui commençèrent aussi à laver leurs patates douces. C'est ainsi que le macaque japonais fut surnommé le « laveur de patates ».

 

 

 

 



17/08/2010
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